Et pour les curieux, voici la carte du parcours (en bleu les km parcourus à vélo et en rouge le train) !
Et pour les curieux, voici la carte du parcours (en bleu les km parcourus à vélo et en rouge le train) !
Voilà, c'est fini !
Un peu plus de 4 mois pour 4000 km parcouru, c'était un chouette voyage :)
Arrivés sur la coulée verte, on se croirait presque déjà à la maison !
Première crevaison du voyage sur le vélo de Pia à 33 km de l'arrivée...
4 mois après, nous voilà à nouveau sur la Loire à vélo !
Fusion de l'Allier avec la Loire !
Vue sur le puit de dôme au départ de Clermont-Ferrand... direction Paris !
Le train des Cevennes que l'on a pris entre Ales et Clermont-Ferrand vaut le détour : les paysages sont vraiment magnifiques !
Vue sur le pic saint loup au départ de Montpellier...
Rouler 90km en 7h entre Fréjus et Hyères, et arriver 12 minutes avant le départ de notre train : Epic Win !
C'était probablement la journée la plus éprouvante du voyage.
On dormait à Fréjus et on devait atteindre Hyères pour prendre le train vers Montpellier. Niveau horaire, on n'avait pas l'embarras du choix : c'était 16h34 pour un trajet de 3h30 ou 17h28 pour un trajet de presque 5h avec 2 correspondances ... L'idée c'était de prendre le premier et de se rabattre sur le suivant si besoin, mais c'était vraiment un plan de secours un peu pourri.
On s'est donc réveillés à 6h30 dans le but de partir à 8h30. Il faisait un froid de canard, et le réveil fût particulièrement rude, surtout pour Kevin. On a fini par partir à 8h53. On était à peine parti qu'on était déjà à la bourre.
La matinée était interminable : il pleuvait et le vent était glacial, les kilomètres s'écoulaient plus lentement que jamais. À la pause déjeuner, un peu avant midi, on avait parcouru seulement 35km. Même le 2ème train ne semblait pas gagné.
En milieu d'après midi, après avoir passé Saint-Tropez sous une pluie battante, le temps s'est progressivement amélioré, la pluie finissant par laisser place à un grand soleil. Les kilomètres aussi finissent par défiler, et on atteint bientôt les 60 puis 70 kilomètres. Il est 15h12 et l'espoir renaît.
S'ensuit une heure à pédaler comme des fous, en essayant de profiter à maximum de la piste cyclable pour rouler. Kevin devant, face au Mistral qui commence à souffler à mesure qu'on se dirige vers l'ouest, et Pia derrière, qui donne tout pour suivre la cadence infernale. En arrivant à la gare, on est rincés. Comme jamais. Mais heureux !
La montée est longue mais les paysages sont magnifiques par ici !
La promenade des anglais, à Nice.
La côte ligurienne dans la tempête.
Ce n'est pas très visible sur la photo, mais il y a beaucoup de vent et les vagues se fracassent avec force sur les rochers.
Retour en Italie et sur le vélo. À Albenga.
L’ascension de la Dune du Pilat
À Arcachon, pour le mariage de Mai-Lan et Antoine.
Vive les mariés !